En effet, il y a 18 mois, cette créatrice de Los Angeles révélait sur Instagram qu’elle affrontait ses démons : la maladie mentale. Incapable de se nourrir, c’est une pneumonie qui l’a clouée au lit pendant deux mois l’obligeant aussi à recourir aux antidépresseurs.
Aujourd’hui, Elohim n’hésite aucunement à parler de ses démons en musique et encourage les jeunes affligés de ces troubles à demander de l’aide s’il le faut et de ne jamais abandonner. Ses démons, ils font partie intégrante de son deuxième album éponyme de 15 chansons paru en 2018 (l’autre est paru en 2016).
De l’électro-pop éclectique aux effets riches, soignés et imprévisibles. De la synthpop achevée. Tout comme sa voix modulée et très agréable aux oreilles. Ça vient de tout côté. C’est varié et personne n’est épargné en ce qui a trait aux démons…
Il y a deux jours, Elohim lançait la pièce TV. Oui, la télé lui fait grand bien. D'ailleurs, on y retrouvait un témoignage fort élogieux sur sa page Facebook.
Qui plus est, la chanson TV se retrouve au sein du projet Make The World You Want (Faites le monde comme vous le voulez) à la suite d’un partenariat entre l'entreprise GoDaddy et Elohim. Cette campagne vise les jeunes et les incite à poursuivre rêves et passions, et ce, peu importe les obstacles.
Ci-dessous, TV et la pièce Sleepy Eyes parue sur son album éponyme ainsi que le commercial GoDaddy.
Un éloquent message de la chanteuse à propos de la maladie mentale...
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