J’aime le chocolat à la folie. Et, ce matin, avec Sophia Danai, nous entrons dans une chocolaterie. Chocolat pur. D’abord son journal. Un webzine. Wishing Well. Cinq numéros à ce jour. De la QUALITÉ. Photos soignées, textes intelligents, présentation originale. Nous voici dans l’univers urbain de Sophia Danai où elle prend un plaisir évident à mettre au premier plan son entourage. Pas elle… ou si peu. Loin, très loin du simple Twitter : « Allô Je suis au resto! » Du thème l’argent, inspiré de l'une de ses chansons, elle dira ceci en substance dans le No 4 : il est permis de rêver aux plus grandes folies… Mais aimer ce que l’on fait est la drogue; et les diamants… ne seront toujours que des diamants.
Ce détour… pour illustrer combien Sophia Danai est particulière dans sa démarche artistique. Intense. Vraie.
Sohia Danai est née à Langley (Colombie-Britannique). Elle affectionne l’orgue électronique), parle décemment le grecque et le français, et ses premières notes de musique parvenues à ses oreilles étaient celles de Nina Simone, Billie Holiday et Portishead.
Le 23 avril prochain, l’artiste auteure et compositrice de Vancouver dévoile son premier EP, Wishing Well. Neuf chansons dont deux avec le duo producteurs de renom Chin Injeti et DJ Khalil. Sous le label The Hastings Set.
Ci-dessous, la chanson The End avec la collaboration du rappeur-producteur Talib Kweli ainsi qu’un clip-maison (à partir d’un iPhone) où Sohia Danai et Chin Injeti interprètent un deuxième extrait de Wishing Well, Now I Know. D’ailleurs, l'édition webzine No 5 est consacrée davantage aux collaborateurs du EP Wishing Well.
La visite à la chocolaterie est terminée. Enfin, il est temps de déguster.
Du chocolat exquis. Pur délice. Bien hâte de goûter la suite...
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