Cette pièce lui appartient réellement : TĀLĀ chante, y joue tous les instruments et l’a produite…
Avec ses lignes de basse, les couches de claviers et les voix interposées, la mélodie à l’électro réussit à accrocher dans un univers sombre, mais entreprenant et captivant en fin de compte.
Bien jouée la duchesse…vivement la suite.
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