Mallrat, jeune australienne de 17 ans, s’est révélée le mois dernier avec sa création For Real qui a atteint la première position à l’agrégateur de blogs Hype Machine.
Hier, Mallrat, alias Grace Shaw, dont la musique regroupe un joyeux mélange d’électro-pop et de rap, retenait l’attention avec la pièce-titre Uninvited… qui se retrouvera sur son premier EP à paraître le mois prochain.
Lors de la présentation de sa première chanson le mois dernier, on l’a dit, son histoire est personnelle. SKOTT fut élevée dans une commune en forêt. Quant à la pièce Porcelain, elle s’est propagée dans
la forêt enflammant blogs et webzines.
Aujourd’hui, SKOTT récidive avec Wolf, deuxième pièce qui accompagnera
Porcelain sur un disque vinyle mis en vente vendredi sous les labels Chess Club Records (Royaume-Uni) et B3SCI Records (États-Unis).
« Parfois, c’est impossible de contrôler ce que l’on ressent. (…) Il y a un instinct en chacun de nous que l’on ne peut ignorer. Wolf, c’est justement de ne pas abandonner ce que votre cœur désire vraiment », souligne SKOTT.
Avec Sohia Danai, tout est affaire de minutie pour atteindre le plus haut degré de perfection dans ce qu’elle écrit, chante et produit. Seulement de la qualité. Idem pour ses collaborateurs qui gravitent autour d’elle.
Et la Vancouvéroise s’affiche ainsi avec ses émotions mises de l’avant.
Sa musique sauce R&B électro-pop avec condiments expérimentaux se déguste lentement… et s’apprécie au fil des écoutes. C’est comme ça depuis ses débuts en 2013.
Au printemps, Sophia lançait Love Royale, album de dix titres. Parmi ceux-ci, la pièce Bitter qui met en vedette Brevner, le rapper-producteur et boss du hip-hop de la côte ouest canadienne.
« Il nous aura fallu plusieurs années d’essais-erreurs avant d’y arriver. (…) Nous étions sur la même longueur d’ondes pour créer une chanson sur la fin d’une relation toxique en montrant les effets sur les deux côtés d’un couple. La présence de Matt (Brevner) apporte justement l’autre perspective », d’expliquer la chanteuse.
Dominique. Auteure-chanteuse-compositrice et productrice. Elle est originaire de New York. La pièce Love You Better, deuxième extrait de son album EP à paraître cette année, est sa première production « qui résulte de nombreuses expériences », dit-elle.
Parce que Dominique est autodidacte. Même si elle a terminé des études en bio, la musique est une passion qui l’anime depuis l’enfance. À 16 ans, elle se mit à l’écriture et débuta sur la scène locale.
La voici à temps plein dans la musique à développer son image sonore.
Love You Better confirme son talent et lui permet de récolter les fruits de sa passion.
Un premier label (High End Times) pour le producteur new-yorkais Brenmar. Un premier artiste et un lancement aussi qui aura lieu demain.
C’est Austin Millz qui a l’honneur d’ouvrir le bal avec l’électro-dansante Limelite et la somptueuse voix de la chanteuse Anishka, artiste émergente de Los Angeles.
Un début fracassant pour Kakou, un duo britannique dont on ne sait presque rien pour le moment... Sauf la pièce Live in This Moment qui est apparue sur la plateforme Undrtone il y a quelques jours.
Une chanson raffinée et contemplative sur l’amour et (bien sûr) le moment présent. Les harmonies sont magnifiques tout comme la voix haut perchée. Une pièce délicate comme sait si bien le faire James Blake.
Le band vient de Vancouver, mais loge souvent à Montréal. Twin River. Au début en 2009, Twin River est un duo de musique folk avec l’auteure-chanteuse Courtney Ewan Bromley et le guitariste Andy Biship.
Puis, la musique tranquille et douillette est devenue plus musclée, complexe et bruyante virant à indie-rock alors que le duo est passé à un quatuor et finalement à un quintette de garage en 2013.
À la suite de l’album Should The Light Go Out paru en 2015, mi-juin, Twin River lançait l’album Passing (10 chansons) sous le label Light Organ Records, disponible sur Bandcamp.
Ci-dessous, trois extraits de Passing Shade : les pièces Antony et Brooklyn Bowl ainsi que le clip de Settle Down qui fut tourné dans les Pays-Bas nous montrant des musiciens sur un road trip ensoleillé et fleuri d'images captées sur une vieille caméra achetée sur place et qui fut vendue aussi sur place.
La voix superbe de Courtney Ewan et les guitares explosives. Parfait duo.
À l’indie-pop construit sur un rythme down tempo quelque peu planant et d’ambiance, la Britannique Jazz Morley poursuit son chemin avec la nouveauté Take Me Down après le succès de l’éloquente Bad Love.
« Je suis contente de la progression de ma carrière et fière d’avoir créé quelque chose de puissant et de positif surtout en ces temps incertains », de souligner Jazz à propos de sa nouveau chanson qui traite de la manière de surmonter la jalousie.
De tous les styles pop, du hip hop au dance-pop en passant par le rap et la danse électro. Parfait pour l’été quand on a un urgent besoin de pep… et de joie au cœur.
C’est la jeune australienne de Brisbane Mallrat (17 ans) qui a concocté cette recette gagnante. Et toujours sur cette note, disons que sa dernière préparation musicale est un régal.
For Real. Irrésistible.
Encore s’il vous plaît.
OK, en bonus, la pièce qui l’a révélée, Suicide Blonde, et l’histoire de cette chanson selon les explications de Mallrat : « C’est à propos d’une personne blonde proche de moi, qui fut un jour modèle et actrice et qui a participé au clip musical de Suicide Blonde de INXS. Plus tard, elle a dû lutter, aux prises avec la dépression, les troubles alimentaires et plusieurs tentatives de suicide. »
Je suis tombé en amour avec Jessy Lanza à la parution de la pièce Kathy Lee. Jazzée. Recherchée. Raffinée. Calculée. Minimaliste. En fait, le même effet que la chanson Genesis de la jeune Claire Boucher (Grimes) en 2012.
Jessy Lanza, originaire de Hamilton, a étudié le jazz à Montréal. « C’est là que j’ai appris à transcrire la musique et à comprendre celle des autres, dit-elle. Née de parents musiciens, elle joue du piano depuis l’âge de six ans.
Sa musique, du R&B électro-pop qui brille à l’international.
D’ailleurs, son palmarès est éloquent. Ses deux albums, Pull My Hair Back (2013) et Oh No (2016) ont été mis en nomination pour le Prix de musique Polaris, la plus grande récompense musicale pour un artiste canadien.
Quant à l’appréciation de ses œuvres, encore-là, la chanteuse récolte les fruits de son travail à l’unanimité.
Ainsi, selon les données collectées et comptabilisées par le site Web américain Metacritic, Pull My Hair Back a obtenu une moyenne de 7,9 du côté des critiques musicaux et de 8,4 chez les amateurs. Quant à son nouvel album, Oh No, le pointage confirme l’immense talent de Jessy Lanza avec une note de 8,2 de la part des experts et de 7,9 pour le public.
Ci-dessous, deux extraits de l’album Oh No, la chanson-titre et It Means I Love You ainsi que le clip de Kathy Lee, chanson de son premier album. Fait à noter, Jeremy Greenspan du duo Junior Boys également de Hamilton a coproduit les deux albums avec Jessy.
Dernier point, la chanteuse, qui complète une tournée nord-américaine, est de passage cette semaine à Montréal (La Sala Rossa, le 14 juillet) et le lendemain à Toronto (Lee’s Palace) alors que DJ Taye et l’artiste électro-expérimentale Marie Davidson assureront la première partie.
Un spectacle à 16 $. Une offre difficile à refuser. Réellement.
C’est samedi. Et peut-être que le moment est bien choisi pour écouter la proposition aux sonorités hawaïennes de Lisa LeBlanc et de passer à l’action… selon ce que la chanteuse du Nouveau-Brunswick déclare dans sa nouvelle chanson Dump the Guy ASAP.
« Des fois, ça arrive que tes ami(e)s sortent avec des losers, explique Lisa LeBlanc dans son langage coloré. J'ai moi-même déjà sorti avec des losers. Cecitte est une toune de solidarité. »
La pièce Dump the Guy ASAP est tirée de son troisième album à paraître le 30 septembre prochain sous le label Bonsound.
Entretemps, Lisa LeBlanc sautillera sur toutes les scènes un peu partout au Canada et en France à l’automne.
Quant à ce soir, dehors… avec les sacs verts ASAP…
C’est la voix quelque peu écorchée de la chanteuse Caroline Landahl qui retient l’attention. Cette voix appuyée d’une musique sobre et judicieusement dosée donne le ton à la chanson. Au cas contraire, il y aurait confusion.
Voici donc le band Hater, né de cette année, un quatuor suédois originaire de Malmö qui balance de l’indie-pop accrocheur et nostalgique.
Hater vient de lancer un premier EP, Radius, de trois pièces, sous le label PNKSLM Recordings (Punk Slime). Disponible sur Bandcamp.
Ci-dessous, deux extraits de l’album, First Time, chanson écrite deux jours avant d’aller en studio et Radius.
La première pièce officielle d’un nouveau duo, MY BONES, avec la chanson Treehouses mise en ligne il y a deux jours par le webzine The Line of Best Fit.
Électro minimaliste dans un tempo lent saupoudré de guitare et de piano alors que la voix de l’auteure-compositrice Lou Wellby enrobe le tout. La production impeccable relève du musicien Tom Hollis qui complète le duo.
Adorable. Mélancolique. Éthéré. À jouer en boucle...
Le band, initialement de New York et installé aujourd’hui à Los Angeles, ne cesse de surprendre enfilant hit après hit (Bloodsteam, Girls Your Age, New Bohemia). Les mélodies sont accrocheuses chaque fois.
Ainsi, le premier album EP éponyme de quatre titres paru en septembre a propulsé Transviolet parmi les belles découvertes musicales des dernières années.
Étonnamment, le quatuor existe depuis six ans prouvant que le succès ne vient pas en une seule nuit. « Il aura fallu beaucoup de travail, de temps d’écriture et de préparation pour y arriver », signale la chanteuse Sarah McTaggart.
Le groupe réunit, outre la voix magique de Sarah, Judah McCarthy, Michael Panek et Jon Garcia.
Transviolet a lancé aujourd'hui la nouveauté LA Love tandis qu’il entreprend une grande tournée nord-américaine incluant Toronto et Montréal à la fin du mois d’octobre.
Voix grave classique et caverneuse, guitare obsédante, batterie nerveuse tout au long de Dorothy, chanson linéaire du duo Her’s qui réunit Stephen Fitzpatrick (voix de baryton) et le guitariste Audun Laading.
En France, ce matin. Voici Jaune. Le titre : Procession. Électro-pop.
Jaune, c’est le projet solo de Jean Thevenin, auteur-compositeur-batteur. Il est membre aussi du band François & The Atlas Mountains.
Jaune prépare la sortie de son premier album de huit titres prévu en novembre prochain.
Sa musique? « J’aurais du mal à définir précisément ma musique, disons qu’elle tourne autour du rythme, que je cherche l’organique dans l’électronique et que je chante en français », disait-il en entrevue au webzine Alt_Riviera.
Quant au clip, il a été tourné dans les rues de Buenos Aires.